Bisphénols (dans les pots de yaourt, bouteilles plastique, film alimentaire, etc), phtalates(produits de beauté, emballages alimentaires, vernis à ongles, jouets en plastique, etc), pesticides. Mais aussi parabens et phénoxyéthanol (cosmétiques, lingettes, médicaments), retardateurs de flamme (tapis, équipements électroniques). Ou encore alkylphénols (détergents, lessives)formaldéhydes (peintures, colles), composés perflurorés (PFOA et PFOS par exemple, dans les cosmétiques, les poêles, certains textiles). La liste semble infinie et concerne des milliers de substances, présentes dans l’environnement et de multiples produits de consommation courante.

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D’origine naturelle (les phyto-oestrogènes par exemple) ou synthétique, c’est-à-dire industrielle, elles peuvent altérer l’action des hormones. Comment ? En mimant, inhibant ou amplifiant leurs effets physiologiques, et ce à tous ces stades : lors de la production des hormones par les glandes endocrines, pendant leur transport dans le sang ou lors de leur liaison à leur récepteur sur les cellules cibles.

@Voisin/Phanie

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Source – crédit photo: pixabay