Passionnés de thrillers ésotériques, un conseil, plongez vite dans le roman « Apsara, de sang et d’encre », publié aux éditions Exergue.
Écrit par Célia Quero, « Apsara » nous entraîne dans la vie de la jeune Clara. Adoptée par un ethnologue de renom, elle découvre au décès de celui-ci, l’existence d’une quête millénaire, menant à une communauté secrète qui détient l’arme la plus puissante au monde.
Des rues de Londres aux jungles asiatiques, Clara recevra un poème sacré, elle en décodera les énigmes …Clara, jeune aventurière des temps modernes, mènera sa quête jusqu’au bout malgré les dangers.
« Apsara » est un vrai régal pour celles et ceux qui adorent se confronter aux frontières du visible et de l’invisible, du mystère et du sacré.
Le Journal des Bonnes Nouvelles a rencontré Célia Quero, l’auteure de ce roman palpitant.
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INTERVIEW
Célia Quero, parlez-nous un peu de votre parcours et de vos centres d’intérêts : l’écriture, le partage, l’Asie du Sud-Est…
Enfant, je lisais beaucoup. Et puis il y a eu un déclic. Un jour, alors que j’étais élève en CM2, notre maîtresse nous a donné un embryon de texte. Nous devions écrire la suite selon nos envies. J’ai pris conscience à travers cet exercice, que je pouvais écrire ce que je voulais. Tout était possible !
Grâce à ce « feu vert », j’ai commencé à écrire des histoires, des nouvelles. C’était mon jardin secret.
Puis j’ai grandi, j’ai suivi des études de droit et de géopolitique. Durant une dizaine d’années, j’ai travaillé en lien avec les populations vulnérables en France et en Asie du Sud-Est.
Durant mon temps libre, j’ai continué à écrire.
Quelle est la trame de votre roman, qui est marqué de références historiques et ésotériques ?
Il s’agit d’une quête initiatique sur trois continents.
Mon héroïne, Clara est originaire d’Asie, elle a été adoptée par un ethnologue, Henry Delatour.
Au décès de celui-ci, elle devient une nouvelle fois orpheline. Elle reçoit en héritage un étrange présent : une quête millénaire sur laquelle travaillait son protecteur, une quête qu’il n’a pas pu mener jusqu’à son terme.
En tombant sur un poème étrange, elle va être poussée -et choisie- pour poursuivre le travail de son grand-père adoptif.
« Quand le safran se teintera de rouge
Viendra le temps de compter
Trois nuits d’enfantement
La quatrième, la lumière sera là ».
Clara va alors partir à Londres à la rencontre de l’associé de son grand-père, Alfred, lui aussi chercheur et ethnologue.
De là, Clara, au fil de ses recherches, va obtenir des clés, qui vont l’emmener en Asie du Sud-Est, entre le Cambodge, la Birmanie et la Thaïlande.
Elle est en quête d’une communauté inconnue, gardienne d’un secret précieux.
Comment est né « Apsara » ?
J’ai écrit ce livre sur plusieurs années.
J’avais le personnage de Clara en tête et je savais qu’un poème viendrait lancer l’histoire. Mais pour être la plus transparente possible, je n’avais pas tous les paramètres en main dès le départ.
J’ai écrit la première phrase du poème « Quand le safran se teintera de rouge » …puis la suite est arrivée par inspiration. Je devais être au calme pour lâcher prise. J’ai finalement un peu décodé l’énigme, comme mon héroïne, au fur et à mesure.
J’ai effectué des recherches en parallèle.
Les personnages se sont imposés à moi. Chacun entrait en résonance avec un autre, comme si un lien invisible les reliait.
Votre roman porte le nom d’Apsara. Qu’est- ce qu’une Apsara ?
Les Apsara sont des sculptures de pierre. Elles se trouvent sur les bas- reliefs des temps en Asie du Sud-Est et en Inde. Elles sont des messagères entre les hommes et des Dieux. Elles sont perçues comme négatives ou positives selon les légendes de chaque pays.
Au Cambodge, il existe des Apsaras vivantes. Elles dansent et les mouvements de leurs mains et de leurs pieds sont codés.
Ce sont des gardiennes, détentrices de secrets et de messages.
Je suis très sensible aux légendes, aux énergies, aux différents plans et le terme Apsara correspondait au mieux à l’essence même de cette histoire entre ciel et terre.
L’aventure de Clara va continuer à travers un second roman…
En effet, je suis en train d’écrire le second volume d’Apsara.
Là encore, je suis inspirée. Pour l’anecdote, il y a quelques jours, j’étais en train de faire ma vaisselle, et j’ai pensé à une énigme qui allait nourrir l’histoire.
La tranquillité d’esprit me permet de faire jaillir la source créatrice.
Je pars en Asie du Sud-Est ce mois-ci et je sais que mon héroïne Clara, sera à mes côtés…(sourires)
Instagram: www.instagram.com/celia.quero
Propos recueillis par Anne Bouquet, en exclusivité pour le JDBN
Livre « Apsara, de sang et d’encre », de Célia Quero, éditions Exergue.
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ANNE BOUQUET
Journaliste depuis une vingtaine d’années en presse écrite, j’ai mené une vie professionnelle classique : salariée d’un quotidien régional, d’une revue économique, de différents hebdomadaires locaux…
Une vie passionnante où j’ai eu la chance de rencontrer beaucoup de monde.
Curieuse de nature, passionnée par la vie, j’ai mis par la suite mes passions au premier plan : ésotérisme, parapsychologie, techniques de bien-être, culture, littérature…
Aujourd’hui, je travaille en tant que journaliste free- lance, pour des sites internet et des agences de communication.
Et puis j’écris des livres pour de belles âmes…
L’écriture est une énergie. À nous de la faire voyager, librement.
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Le JDBN porte ces valeurs. Je suis aujourd’hui ravie d’accompagner ce média qui nous porte vers le haut. »
Anne Bouquet.
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Source: JDBN – crédits photos: Avec l’aimable autorisation de Célia Quero – crédit photo couverture: JDBN © Thomas Rives