Hugh Hefner vient de rejoindre ses playmates aux cieux. Peut-être que la censure enfin le laisser tranquille là haut.
Qui n’a jamais lu Playboy? Ok…, on ne lit pas Playboy… on le regarde. Fantasme des ados à la puberté finissante, plaisir caché ou pas des hommes, jalousie ou admiration des femmes, le magazine Playboy a eu cet impact positif de libérer les esprits coincés et puritains. Quoi de plus normal que d’aimer les belles nanas? Quoi de plus normal que d’aimer le sexe?
Longtemps, ce ne fut pas une évidence et Hugh Hefner, le papa de « Playboy » a au moins cette légitimité: Avoir révolutionné la presse et l’image de la femme. Contrairement à ce que certains pensent, il a adoré les femmes au point de les sublimer et de les chérir toute sa vie dans le respect et la bienveillance.
Il dit d’ailleurs être resté en très bons rapports avec toutes ses conquêtes et aucune de ces dernières ne viennent dire le contraire.
Nous vivons une époque toujours catastrophique concernant la place de la femme dans la société. Voilà un homme qui s’est toujours battu pour l’égalité des sexes, n’en déplaisent à ceux qui pensent qu’il considérait les femmes comme des objets sexuels, à tort.
Le petit lapin est même devenu une marque tendance et chic.
Je suis heureuse de rendre hommage à celui qui ne mâchait pas ses mots et ne censurait pas la beauté féminine.
Je lui laisse la place grâce à quelques citations croustillantes dont il avait le secret.
Have fun! Have sex!
Sophie Denis, pour le JDBN.
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