Nous faisons tous des rêves où nous rencontrons des personnes que nous ne connaissons pas dans notre vie réelle. Je me suis posée la question de savoir si ces personnes existent dans notre plan terrestre mais que nous avons comme destiné de communiquer avec eux uniquement dans notre subconscient t’aurai t’il une vie au delà de la nôtre et de l’au-delà?
J’ai envie d’y croire et de me dire que toutes ces personnes avec qui je parle, avec qui j’échange des moments lors d’événements positifs et négatifs existent. Je me dis également que lorsque je rêve d’eux ils rêvent de moi également, à une seconde précise lors du sommeil de nouvelles personnes naissent dans ma vie.
Et les personnes qui nous créent du tort lors de ces fameux rêves sont face à une justice ou la notion de justice dans cette autre dimension est factice?
Ces personnes là voguent dans nos rêves (ou cauchemars) dans le subconscient de chaque personne vivante sur terre jusqu’à atterrir dans l’esprit d’un être humain qui lui fera justice dans son rêve.
Comment peut-on matérialiser cette autre dimension?
L’encrage que nous avons dans notre plan terrestre nous aide fortement à rester encrer dans nos rêves. N’avez-vous pas remarquer notre notion de survie lorsque nous avons la sensation de tomber? Ou au moment où une personne nous fait du mal, arriver l’heure fatidique de notre autre mort nous nous réveillons instinctivement ? Nous avons en nous cette notion de survie subconsciente où le mal n’a pas de place dans cette dimension.
Les défunts sont-ils décédés dans nos rêves?
Les défunts sont bien vivant dans notre subconscient, c’est notre façon de ne pas les laisser partir et de passer quelques moments avec eux. Leur visite donne l’apparence qu’ils sont encore dans l’au-delà mais ils nous montrent qu’ils sont avec nous dans cette autre dimension.
Pour conclure, notre existence dans nos rêves est bien réelle. C’est dans cette dimension qu’il est difficile de tout contrôler. Savourons nos moments merveilleux, et saluons ces personnes qui viennent à notre rencontre.