Haro sur la malbouffe !

Notre alimentation est aujourd’hui dominée par trois puissantes catégories d’aliments que sont le blé (et son gluten), le lait et le sucre. Tout au long de ce livre, vous allez découvrir comment ces produits, soutenus par de puissants lobbies, deviennent véritablement addictifs et pourquoi ils finissent par nous faire prendre du poids et par perturber notre santé. La nature est bien faite et notre bon sens devrait nous permettre de prendre les bonnes décisions en matière d’alimentation. Or, parce que des milliards d’euros sont en jeu, l’industrie agroalimentaire brouille les messages.

Allant plus loin qu’un simple manifeste contre la malbouffe, ce livre vous propose de réelles alternatives pour retrouver le plaisir d’une alimentation saine et gourmande.

Vous découvrirez ainsi :

• Des informations complètes sur la nutrition pour comprendre ce dont votre corps a réellement besoin.

• Un programme détaillé en deux phases pour changer de comportement et trouver votre poids idéal.

• Des recettes et tableaux pour réapprendre à cuisiner et faire le point sur les aliments à privilégier et ceux à oublier.

LE LIVRE

L’AUTEUR

Après un parcours de directeur artistique et consultant en marketing visuel, Stéfane Guilbaud est devenu formateur avec comme thème de prédilection « le changement de comportement alimentaire ». Aujourd’hui conférencier, il est l’auteur de trois livres dont Je ne mange pas de produits industriels.

EXTRAIT

« Fini les chevaux de trait, les cultures respectueuses des cycles, les semences maison et les petites exploitations. De puissants groupes, anciens fabricants d’armes chimiques, ont reconverti leurs stocks chimiques en pesticides et en nitrates. Ils sont désormais distributeurs de produits pour l’agriculture intensive et promoteurs d’OGM ; l’ère de la monoculture s’est imposée. La grande distribution s’organise pour écouler la production. Le client consomme. Une nouvelle consommation est encouragée et pas que pour notre bien. On doit donc s’organiser, apprendre et comprendre que l’alimentation qu’on nous propose n’a d’autre valeur que sa rentabilité. »

source: JDBN – crédit photo: capture