La chronique de Floriane Arzouni Medium: Porter le prénom d’un de nos ancêtres a t-il des conséquences sur ce que nous sommes et ce que nous devenons?
Combien d’entre nous portent le prénom de son arrière-grand-mère, grand-père?
Eh oui, nous sommes beaucoup.
Tout part d’une bonne intention, mais l’impact sur nos émotions et nos ressentis est fort, pourquoi?
Je prends l’exemple d’une personne proche (dont je tairais le nom sinon je risque d’avoir des sms en cascade), elle porte en deuxième prénom celui de sa tante décédée, elle a parfois des réactions qu’elle ne comprends pas, parfois des hystéries émotionnelles sur des sujets bateaux, elle a des idées noires le soir…
Lorsqu’elle a fini par se renseigner sur qui était sa tante… elle a su qu’elle avait un fort caractère, un petit peu triste et explosif. Mon amie durant toutes ces années était déboussolée car elle se pensait folle à ne pas comprendre ses propres réactions.
Ses parents lui ont donné ce fameux deuxième prénom pour garder en mémoire sa tante sans savoir quelle conséquence il y aurait sur son chemin de vie, merci tata Josette!
Conclusion: Le tout est de bien faire la distinction entre ce que vous êtes et ce que représente votre deuxième prénom. Vous êtes vous et vous seul (Alleluia !)
Floriane Arzouni, en exclusivité pour le JDBN
@ Floriane Arzouni, 34 ans médium.
Depuis mon plus jeune âge je vois des choses, au début sans pouvoir mettre de mot dessus puis avec le temps il y a eu la maturité et l’évolution, l’acceptation de pouvoir comprendre finalement que les défunts ne disparaissent pas.
Mon travail, si je peux l’appeler ainsi est de passer un message, vous passer ce message et apaiser ces âmes errantes qui sont coincées avec nous. Mon objectif est de transmettre ce qu’ils ont à vous dire, leur dernier mot comme un ultime au revoir. Il est aussi important de vous donner les clefs de vivre votre existence en toute sérénité, lors de séance médiumnique et de développement spirituel. J’ai écrit un livre ‘ Discuter (enfin) tranquillement avec les défunts ‘ Éditions Exergue, pour justement parler de tout ce qui nous semble invisible et impalpable mais bien réel.
Ma contribution au JDBN:
J’ai souhaité apporté ma contribution pour le Journal Des Bonnes Nouvelles car il est à ce jour le seul à mes yeux qui relate des événements, des articles, des vidéos positifs. Nous sommes dans une société qui a le mal de Terre et je dois dire que ce journal met en avant des sujets qui ensoleille notre quotidien. J’ai eu la chance d’être interviewée par Sophie Denis la fondatrice, qui m’a donné envie d’écrire et de mettre ma plume au service du bonheur et de la joie en parlant de sujets sérieux tout en étant démystifiés.
Floriane Arzouni Medium
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