C’est une enquête révolutionnaire de PETA Asie qui a fait tomber le voile sur la cruelle industrie chinoise de l’ejiao en 2017, révélant pour la première fois que des ânes effrayés sont frappés à la tête avec des massues avant d’être égorgés, le tout pour que leur peau puisse être bouillie afin de fabriquer de la gélatine pour de la médecine traditionnelle, des confiseries et des produits de beauté. Ces révélations ont fait la une des journaux du monde entier, déclenchant des dizaines de manifestations contre l’ejiao et entraînant une chute drastique des revenus du plus grand producteur chinois d’ejiao.
Lors d’une enquête de suivi l’année dernière, PETA Asie a visité des abattoirs d’ânes approuvés par le gouvernement au Kenya, où des milliers d’ânes étaient tués chaque jour presque exclusivement pour l’ejiao. Avant de connaître une mort violente, nombre d’entre eux ont été privés de nourriture et d’eau au cours d’un voyage exténuant depuis les pays voisins comme l’Éthiopie, la Tanzanie et l’Ouganda.
Heureusement, les jours des abattoirs d’ânes au Kenya sont comptés, grâce aux nouvelles que le secrétaire d’État à l’agriculture du pays les a interdits, leur ordonnant de fermer dans quelques semaines !
Mais le massacre cruel des ânes est loin d’être terminé. Aujourd’hui, des ânes ou leur peau sont importés en Chine depuis d’autres régions d’Asie, du Moyen-Orient et d’Amérique du Sud, tandis que d’autres pays, dont l’Australie, envisagent honteusement d’ouvrir un commerce d’ânes vivants destinés à l’exportation.
Avec votre aide, nous continuerons à œuvrer jusqu’à ce que les ânes ne soient plus torturés et tués pour leur peau, pour le tourisme ou pour toute autre raison.
Merci pour votre soutien compatissant.
Sincèrement,
Mimi Bekhechi
Conseillère en campagnes
|