Si t’aimes les mugs, ou que tu ne sais plus du tout comment t’y retrouver entre ce qu’il faudrait éventuellement que tu sois, la gueule que t’es supposé avoir, et que ça crée des remous à l’intérieur de toi tout ce bordel, cette chronique est faite pour toi !
T’es en train de lire la chronique à peu près inspirante d’Alice Kara, on est mardi, sur le JDBN !
Sujet du jour : L’être, le paraître ou le mal être ?
Warning : Dans cette vidéo, y’a une expérience à peu près scientifique dedans. Eloignez vous de l’écran. Merci.
Petite mise en situation à peu près claire.
Quand on s’incarne, qu’on vient vivre une expérience terrestre, ça donne à peu près ça. Tu prends un contenant. Un mug par exemple. Tu prélèves un peu de flotte de l’océan avec, ça c’est l’âme comme on dit. C’est la même pour tout le monde, vu qu’on puise tous dans le même océan. Comme ça, pas de jaloux. Tu le poses sur la table. La table, c’est la life.
Pour être plus claire, la flotte dans le mug, c’est l’être, qui est donc identique à tout le monde au départ.
Le mug, c’est le corps physique et ta personnalité, soit, le paraître, qui peut être différent. Tu peux avoir un gobelet en plastique et avoir l’air fantastique, tu peux avoir un mug Yoda, parce que c’est plus sympa, etc etc. (Vive les rimes ! Que je suis pouet pouet aujourd’hui !)
L’être, c’est ce que tu es en vrai. Tu peux le pimper avec tout un tas de croyances, comme des sachets de thé, du kawa, du colorant (ouh comme c’est joli !) mais ça change pas vraiment le fait que l’eau, à la base, bah même si elle change de couleur, c’est toujours de l’eau. Inaltérable, que tu peux pas la couper avec un couteau ou lui faire bobo.
Chaque croyance que tu rajoute dessus, peut être source de mal être. Parce que toute croyance est limitante, et ne fait que rajouter du mental sur un truc qui est déjà parfaitement bien de base. Les poissons, ils baisent dedans donc c’est que l’eau, elle est pas si pire au final. (Celle là j’aurai pu l’éviter, je sais !)
Le paraître, c’est tout ce que tu cultives pour faire en sorte que ton mug il plaise aux autres. C’est du marketing. Pour ça, tu peux lui coller un gros nœud dessus, dessiner des trucs dessus, ou lui mettre des froufrous (ou ce genre de trucs là… Tu sais les habits pour réchauffer le thé… que c’est plus chiant qu’autre chose, m’enfin…), il aura meilleure gueule, pis les gens vont le remarquer. Ptet même que les gens vont se dire qu’ils préfèrent ton mug à tous les autres mugs, parce qu’il est plus beau de l’extérieur.
Souvent, on a besoin de beaucoup modifier l’aspect extérieur de son mug, parce qu’on cherche à cacher la flotte qu’est dedans, parce qu’on a foutu tellement de sachets de thé différents qu’on sait plus du tout quel goût ça va avoir notre mixture, donc pour que les gens aient envie d’en boire, faut que ça soit joliment emballé, sinon ça donne pas envie.
Donc on privilégie le paraître, parce qu’on a foutu trop de mal être dans l’être. Tu saisis ?
L’idéal, ce serait de ne plus rien ajouter comme croyances à l’intérieur de son mug, pour ne plus avoir besoin de toujours embellir le paraître. De laisser comme ça, histoire que ce qu’on est en vrai puisse plaire vraiment à ceux à qui ça doit plaire, pour éviter de dépenser de l’énergie afin de plaire à des gens qui nous plaisent pas en vrai.
J’suis pas tellement sûre d’avoir été claire pour le coup, mais menfoumentape, c’est l’heure de boire mon kawa ! Dans mon mug Leia. RIP Carrie Fisher au passage. Snif snif.
Pour plus de chroniques à peu près inspirantes comme celle ci, rdv chaque mardi ici, sur le JDBN et sur alicekara.com !
Tu seras pas déçu. Ou ptet que si, mais tu peux boire en thé en même temps, c’est plus sympa.
@ bientôt quelque part mon poulet !
LA VIDÉO:
A PROPOS D’ALICE KARA…
Alice Kara, c’est de l’éveil qui décanille le mental, rafraichit la soupe spirituelle, et donne des rictus à des sex-toys.
Elle ne brosse pas dans le sens du poil, elle épile.
Botteuse de culs hors pair, elle distille un peu partout sur scène, sur le web et en vidéos son humour « à peu près inspirant ».
Auteur de la série de livres les « J’dis ça, j’dis rien – Les petits livres anti-crise spirituelle », mais aussi du blog « Les tribulations d’Alice Kara » depuis 2009, et animatrice/productrice de l’émission spirituellement girly et décalée « Ze AK Show WEB TV » elle se trouve toujours là où on ne l’attend pas.
Incorrigible provocatrice de sourires, et agitatrice de conscience, c’est un peu un hybride entre Eckhart Tolle et… Coluche.
Parce que derrière ses santiags et son verbe haut, se trouve un bisounours qui fait des FREE-HUGS, sauve les petits chats, et bois des smoothies verts. (Mais il ne faut surtout pas l’ébruiter !)
« On a tous besoin d’amour, mais aujourd’hui, plus que jamais, c’est l’amour qui a besoin de tous. »
Retrouvez là chaque mardi, avec sa chronique à peu près inspirante, sur le JDBN.
POURQUOI J’AI VOULU CONTRIBUER AU JDBN ?
Effectivement, c’est étonnant, vu que généralement, je refuse toutes les propositions que l’on me fait, mais on ne peut rien refuser à la boss du JDBN, (Non, je n’ai pas couché !) et puis parce que participer à un projet tel que celui-ci, qui propulse de la bonne humeur, j’ai trouvé ça carrément canon. Donc c’est avec grand plaisir que je rejoins l’équipe du JDBN, et j’espère vous inspirer… Enfin… A peu près quoi. @ bientôt ! Alice Kara
LES LIENS :
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Facebook : Alice.Kara.Officiel
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http://www.youtube.com/c/AliceKaraOfficiel
Pis y’a le AK Show aussi, c’est canon, tu vas voir :
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